La semaine dernière, Bruno Venanzi a donné son avis sur le rôle des managers. Parmi les incohérences du système, le président du Standard ne comprenait pas pourquoi l
es clubs devaient payer les commissions des managers alors que cela incombait logiquement aux joueurs. Un cas se présente à lui dans les négociations avec Renaud Emond.
Selon La Meuse, toutes les parties seraient d'accord sur une proposition de prolongation de trois ans, soit jusqu'en 2022, plus une en option. Mais il y a un hic: le Standard devait verser deux commissions. Une à Franco Iovino, qui a amené Emond pour cinq ans en 2015. L’agent liégeois touche un cinquième de sa commission au mois de septembre pour autant qu’Emond reste à Sclessin.
Depuis, l’attaquant s’est lié à Eleven Management, qui négocie la prolongation d'un contrat qui entrera immédiatement en vigueur. Au Standard, on a pas trop envie de verser deux commissions.