Les Russes avaient déployé un énorme dispositif de sécurité tout au long de la Coupe du monde et tout s'est très bien passé. Jusqu'à ce qu'en pleine finale, un quatuor de Pussy Riot envahisse le terrain, interrompant une contre-attaque de la Croatie pour protester contre les atteintes aux droits de l'homme en Russie mais aussi contre le fait que la FIFA joue le jeu de chefs d'état qui violent ceux-ci.
Autant dire que Vladimir Poutine et ses copains présents dans la tribune n'ont pas apprécié la plaisanterie.
Interceptés, les quatre membres (trois femmes et un homme) ont été jugés dès ce mardi: 15 jours de prison et trois ans d'interdiction de présence à des événements sportifs.