Ricardo Sa Pinto aura marqué la saison par ses numéros au bord du terrain mais aussi par ses résultats. On peut même penser que les supporters lui dresseront une statue s'il réussit un doublé historique.
"Quand il a annoncé qu’il ne parlerait plus aux médias, il a pris tout le monde de court dans le club. La direction l’a vite recadré. Bruno Venanzi ne pouvait pas accepter ça. Pour lui, l’image du club prime parfois sur les résultats. Le one-man show de Sa Pinto dans le match de Coupe à Anderlecht, c’était désastreux pour l’image du Standard. Il ne pouvait pas continuer à faire n’importe quoi", a expliqué Thierry Luthers à Sport/Foot Magazine.
"Je ne l'ai jamais eu à mon micro. Le seul contact direct que j’ai eu avec Sa Pinto, c’était au bar de la salle de presse du Standard, après un match. Il est venu me trouver d’un pas décidé, je me suis dit : -Ouille, que se passe-t-il? Et là, il m’a dit: -Félicitations pour le Grand Cactus, c’est une chouette émission. Je lui ai répondu: -Mais vous comprenez tout? Parce qu’il y a quand même pas mal de jeux de mots. Il m’a dit: -Oui, c’est très bien."
Le vote: Sa Pinto devrait-il redonner ses interviews en français?