Le Cercle Bruges vient d'arracher la montée en division 1. Soutenu par l'AS Monaco, le club espère s'installer parmi l'élite. Mais il est confronté à une perte d'exploitation annuelle d'un peu plus d'un million d'euros. Le budget sera porté de 8 à 10 millions d'euros, soit la moitié de la moyenne des autres clubs.
"Mais les rentrées augmentent. Recettes, droits télé, sponsoring. L'objectif n'est pas d'avoir un budget nettement plus bas que celui des autres équipes. Mais nous n'allons pas mettre des sommes folles dans ce club non plus", a assuré Vadim Vasilyev, le patron du Cercle, au Het Nieuwsblad.
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"C'est grâce à notre bon travail que nous voulons obtenir des résultats, pas en injectant l'argent de Monaco. Le Cercle peut bénéficier de notre synergie et de notre savoir-faire. Avec notre cellule scouting, le suivi médical, des spécialistes dans le domaine de la nutrition: c'est avec cela que nous aidons le projet à aller de l'avant. Ce n'est pas que nous voulons rivaliser avec les grands clubs."
"Dépasser Bruges et Anderlecht? Non, ce n'est pas le premier but. Si nous faisons du bon travail, alors peut-être qu'un jour. Maintenant, nous voulons être un solide pensionnaire de la division 1. Aujourd'hui, l'écart avec le Club et Anderlecht est trop important. Tant en termes de structure que de budget."
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