Si son licenciement a marqué la fin de l'ère danoise à Anderlecht, Brian Riemer, lui, a rapidement trouvé un nouveau défi. Juste avant son baptême du feu en tant que sélectionneur national du Danemark, Het Nieuwsblad a demandé à l'ancien entraîneur des Mauve et Blanc de lui accorder une interview.
Malgré son départ brutal, il ne semble pas avoir de ressentiment à l'égard du conseil d'administration. Au contraire : bien qu'il ait été le moteur de son C4, Riemer révèle qu'il a reçu un message du président Wouter Vandenhaute après sa nomination au Danemark.
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Riemer met en garde le RSCALe tout nouveau sélectionneur national, qui a été poussé vers la sortie par une partie du public et des médias belges, souhaite donc à l'équipe bruxelloise tout ce qu'il y a de mieux pour l'avenir. Mais il semble craindre, à court terme, que les choses ne s'arrangent pas au Lotto Park.
D'autant plus qu'entre-temps, son compatriote Jesper Fredberg a également été autorisé à quitter son poste de CEO Sports. « En tout cas, nous savons que le T1 a ensuite informé quelques connaissances qu'Anderlecht est de retour au 'ground zero' », affirme le journal, dans lequel Riemer lui-même refuse de botter en touche.
Thérapie après le Lotto Park
« Oui, j'ai senti qu'il y avait encore quelque chose à accomplir à Anderlecht, mais je ne veux pas non plus oublier ce club. Il y a encore beaucoup de personnes proches dans mon cœur et Anderlecht a fait partie de mon processus de croissance dans les bons et les mauvais jours », a déclaré le Danois de 46 ans.
On y lit également que son nouveau poste est « la meilleure thérapie pour se remettre d'Anderlecht », où ses derniers mois ont été « parfois infernaux ».
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