Au Standard, si Ivan Leko tente de se concentrer sur le renouveau sportif du club, en coulisses on essaie de trouver des solutions pour pérenniser les affaires.
Pas simple quand on connait les différents litiges qui existent en bord de Meuse. Mais les choses évoluent positivement depuis quelques jours. Alors que A-CAP a pris la relève de 777 Partners, écarté du monde du football, un accord aurait été trouvé entre l'assureur et Bruno Venanzi.
Un accord global
Les deux parties se seraient mises d'accord sur les sommes à payer de la part des Américains à l'ancien propriétaire du club. Un accord qui permettra la levée de la saisie ds actions du Standard et qui facilitera ainsi la revente du Matricule 16.
Mais il n'y a pas que Bruno Venanzi qui était en litige avec le Standard, c'était aussi le cas du cabinet d'architectes Assar, mandaté pour la rénvation du stade, et de l'ancien CEO du club, Alexandre Grosjean.
Le ciel s'éclaircit
Le cabinet Assar, qui réclame 3,2 millions d'euros, a fait saisir par le tribunal de première instance de Liège le stade, les terrains et les installations de la rue de la Centrale, soit un total de vingt biens. Quant à Alexandre Grosjean, il avait également saisi la justice pour le non-paiement de l'intégralité de son préavis.
Comme l'annonce Sudinfo ce mardi, la finalité des deux litiges fait partie de l'accord global qui a été passé il y a quelques jours. Les montants à verser et ceux qui devront s'en acquitter ont été fixés lors de cet accord, ce qui permet d'envisager un avenir plus serein pour les Liégeois. Il reste désormais à trouver un repreneur, qui risque de ne pas arriver avant 2025. Une situation financière claire pourrait permettre d'accélérer les choses.