Emmené par David Hubert, Anderlecht va débuter sa campagne en Europa League face à Ferençvaros. L'ensemble du club s'attend à une victoire des Mauves face aux Hongrois. C'est notamment le cas de Jesper Fredberg. Le CEO Sports des Mauves sait qu'il est sous pression.
Vandenhaute ne reste pas les bras croisés
Maintenant que Brian Riemer n'est plus là, les supporters anderlechtois ont trouvé une nouvelle cible : Wouter Vandenhaute. Selon le Nieuwsblad, on ne peut cependant guère lui en vouloir. Le président non exécutif reste en retrait, même s'il est bien sûr impliqué dans les prises de décisions stratégiques. Il serait d'ailleurs grandement impliqué dans la décision d'avoir licencié le coach danois et aura son mot à dire concernant l'arrivée du nouvel entraîneur.
C'est également lui qui surveille le budget. Il a notamment réussi à convaincre le reste des actionnaires de faire un effort en fin de mercato pour signer Leander Dendoncker et Samuel Edozie. Des renforts qui ne seraient peut-être pas venus sans sa contribution.
Fredberg n'a quant à lui plus le droit à l'erreur. Après un mercato estival décevant, le Danois est encore un peu plus en danger depuis le départ de Riemer. Il faut dire que c'est lui qui a emmené l'ancien adjoint de Brentford au RSCA.
Il n'a plus le droit à l'erreur
"Il ne peut pas se permettre de faire une nouvelle erreur de casting avec le nouveau coach", déclare HLN. Mais de son côté, Fredberg reste calme : "Je ferai tout ce qu'il faut pour mes employés. J'attends de ceux qui sont au-dessus de moi qu'ils fassent de même pour moi. Tant que ce sera le cas, je continuerai à tout donner. Je sais qu'il y a beaucoup de pression ici et je l'accepte. C'est un honneur de représenter Anderlecht."