À La Louvière, on a de grandes ambitions et on se donne les moyens de les atteindre. Le club se porte bien sportivement et est occupé à grandir.
Un nouveau stade ultramoderne fait partie du projet qui doit permettre au club de progresser encore et du côté de Nicolas Frutos, on annonce une grande nouvelle.
"Un meilleur cadre"
"Nous ne dépensons pas l'argent que nous n'avons pas, comme beaucoup d'autres clubs. Si vous pensez que le salaire le plus élevé était de 3.500 euros par mois la saison dernière, vous êtes même très généreux. Nous attirons des joueurs qui peuvent souvent gagner plus ailleurs, mais qui bénéficient d'un meilleur cadre ici. Nous sommes en train de construire cette réputation et certains osent jouer pour 1 000 euros de moins par mois. C'est un choix conscient pour votre carrière", déclare-t-il.
Comptant des joueurs comme Mohammed Guindo, Adrien Bongiovanni ou Sami Lahssaini en ses rangs, La Louvière peut viser les premières places en Challenger Pro League et pourquoi pas une montée dans l'élite du football belge rapidement.
De l'expérience à revendre
Pour les clubs des divisions inférieures, il faut donc ruser d'autres moyens pour pouvoir rivaliser avec les meilleures équipes et progresser. Avec Nicolas Frutos, Enzo Scifo et Silvio Proto, La Louvière possède pas mal d'expérience pour convaincre des talents de faire le choix de leur club.
Reste donc à voir si la stratégie sera payante pour ceux qui occupent actuellement la troisième place du classement, à égalité de points avec Deinze et le RWDM.