La saison dernière, les arbitres belges ont été critiqués presque chaque semaine, le penaltygate entre Anderlecht et le KRC Genk en étant le point culminant. Pour éviter que de tels cas ne se reproduisent à l'avenir, l'Union Belge a décidé d'apporter quelques modifications au règlement national.
Il a déjà été annoncé qu'il ne serait plus possible de déposer une plainte contre une erreur d'arbitrage. Outre Genk, le Club de Bruges et le RWDM ont également essayé la saison dernière de faire rejouer un match en raison d'une violation des règles. Désormais, cette possibilité n'existe plus.
Lardot met la barre plus haut
Heureusement, la Fédération de football a également approfondi les raisons exactes de ce dysfonctionnement. D'autres travaux sont en cours pour professionnaliser le corps arbitral. Les arbitres seront désormais désignés par une commission technique composée de six experts du département des arbitres.
Sous la houlette du nouveau directeur technique Jonathan Lardot, le DRP veut relever le niveau. Avec l'aide d'un coaching individuel, la qualité devrait s'élever au plus haut niveau de l'UEFA. Les optimisations pendant les barrages, avec des équipes fixes et des briefings tactiques, se poursuivront également.
Les leçons du penaltygate
En outre, Lardot a proposé quelques nouveautés. On savait déjà que seuls les capitaines seraient désormais autorisés à protester auprès de l'arbitre, mais en collaboration avec DAZN, la communication avec le VAR sera également améliorée afin que l'on sache clairement ce qu'il analyse. Lors de la Super Coupe, les téléspectateurs pourront même visionner les mêmes images à la maison.
Enfin, à la suite du penaltygate, les règles concernant les joueurs entrant sur un coup de pied de réparation seront modifiées. Au lieu de devoir prendre en compte tous les joueurs, il n'y aura désormais d'intervention que si un défenseur ou un attaquant entrant trop tôt dans la surface de réparation a un impact réel après un tir manqué.
.webp)
.webp)
