La situation de 777 Partners au Standard devient plus complexe alors que Bruno Venanzi, l'ancien président du club, a engagé des poursuites judiciaires pour récupérer les actions du club en raison d'un défaut de paiement. D’après certains experts, le Standard ne risque rien, tout est ok en interne. Le souci vient de 777 aux Etats-Unis.
Bruno Venanzi, ne tolérant pas le défaut de paiement de plusieurs millions d'euros par 777 Partners, a engagé des actions en justice pour récupérer ses parts. Il envisage de recourir à la cour d'arbitrage et de médiation commerciale (CEPANI) pour dénoncer ce non-paiement conformément au contrat de cession de parts.
Pour l'avenir du club, l'octroi de la licence par l'Union belge est crucial, assurant un suivi strict des finances du Standard. Les dettes aux fournisseurs ne sont pas pris en compte par la commission des licences, sauf en cas de procédures judiciaires. Bien que la situation soit préoccupante, le risque de faillite pour le Standard semble actuellement peu probable, avec la possibilité de sauvegarde si nécessaire. Les litiges concernant l'immobilière du club sont distincts de ceux de la société de football.
OK JUSQU’EN 2025?
Malgré les inquiétudes des supporters, les décisions récentes de la commission et de l'auditorat des licences assurent la continuité du Standard jusqu'au moins juin 2025.