Le désaccord persiste entre Bruno Venanzi et 777 Partners concernant le montant de la seconde tranche du rachat. Les propriétaires américains contestent le montant initial, oscillant entre 3 et 4 millions d'euros, et souhaitent déduire les frais associés à plusieurs dossiers non divulgués lors de la vente.
Ces dossiers incluent les droits télé vendus à la banque allemande Raisin Bank en 2021, un redressement fiscal lié au Footgate, ainsi que le litige avec l'ancien directeur général, Alexandre Grosjean. Cependant, le litige concernant Grosjean pourrait être exclu de cette tranche de rachat, car le Standard a fait appel du jugement. Malgré cela, 777 Partners est tenu de verser un montant minimum fixe pour cette tranche. Les parties impliquées tentent de trouver un accord, mais le temps presse en raison de la date limite imminente.
Une tranche de 3 millions d'euros partiellement remboursée
D'autre part, la seconde tranche de l'Immobilière, prêtée par Bruno Venanzi à 777 Partners avant de quitter le club, n'a pas été entièrement remboursée. Des rumeurs circulent sur un possible retour de Venanzi au club en cas de non-paiement de cette tranche, mais les propriétaires actuels rejettent l'existence d'une telle clause. Il est également évoqué que Venanzi pourrait bénéficier du soutien de deux investisseurs différents s'il revenait au club.
Paiement en retard
Enfin, les actionnaires de l'ancienne Immobilière Standard de Liège n'ont toujours pas reçu le montant dû de la seconde tranche du rachat, fixé à 12 millions d'euros. Le paiement était attendu début avril.