Depuis le rachat du Standard par 777 Pärtners, de nombreuses questions se posent sur la gestion des investisseurs américains.
Le manque de moyens mis à disposition pour les transferts est le plus gros reproche qui est fait mais malgré cela, on continue d'y croire dans le staff. C'est le cas de Pierre Locht, le CEO du club.
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"Ce ne sont pas eux les principaux responsables"Ce dernier a fait le point sur la situation financière du club. "777 Partners a injecté 40 millions € depuis son arrivée, mais le club est toujours sous respirateur artificiel, cela ne peut pas durer. Ce ne sont pas eux les principaux responsables, c’est à nous de corriger cela", déclare Locht.
Avant de poursuivre : "On n’a pas assez vu l’identité du Standard. On doit maîtriser nos coûts. Au 30 juin 2024, le Standard aura dû dépenser 24,8 millions € pour des transferts entrants, dont 12,2 pour des transferts avant l’arrivée de 777. En parallèle, on n’a enregistré que 12,7 millions de rentrées."
Et Locht de se montrer positif quant à l'avenir assez proche du club. "La masse salariale a encore augmenté parce que des ajustements ont été opérés après le footgate et parce qu’on a une deuxième équipe professionnelle (le SL16 en Challenger Pro League). D’un autre côté, on a des joueurs qui prennent de la valeur, comme Cihan Canak, Nathan Ngoy, Lucas Noubi, Isaac Price."
Le Standard va donc pouvoir enfin dégager des bénéfices : "Pour la première fois, on va dégager du bénéfice sur les transferts, selon l’équilibre achats-ventes. Ce ne sont pas des gros montants, mais c’est la ligne qu’on veut suivre : dépenser ce qu’on a, pas ce qu’on n’a pas.."
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