Le début de saison d'Anderlecht a été chahuté avec en prime le limogeage de René Weiler. La direction a donc dû corriger la trajectoire.
"Après la démission de René Weiler, j'ai dit au président: -Maintenant, nous devons faire tout ce que nous pouvons pour obtenir le seul entraîneur en Belgique qui rencontre l'ADN d'Anderlecht", a avoué Herman Van Holsbeeck au Het Laatste Nieuws.
"Je trouve que Dury est aussi un excellent entraîneur, et Mazzù aussi. Mais lorsque vous voyez comment Mazzù fait jouer Charleroi et vous pensez comment Hein a fait jouer Courtrai, oui, c'est totalement différent."
"Je dois admettre que c'est uniquement à cause du profil de Hein, que tout le monde dans ce club est incroyablement content de lui. Qu'est-ce que ce sera s'il gagne aussi des prix avec un bon football? A Anderlecht, nous avons eu ces dernières années des entraîneurs qui, l'un comme l'autre ont atteint leurs objectifs: ils sont devenus champions. Mais la qualité du football proposé n'a jamais atteint ce que les gens attendent du Royal Sporting Anderlecht. Du coup, la collaboration entre la presse et Anderlecht, qui a toujours été bonne, se trouve sous une énorme pression."
"A long terme, de nombreux entraîneurs ont vu la presse comme l'ennemi. Ce qui a pesé sur tout le club. Hein a pu éliminer ces tensions. C'est un maître dans sa communication, et c'est une partie importante des responsabilités d'un entraîneur dans un top club."
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