Si la Jupiler Pro League n'est pas le championnat le plus relevé d'Europe, il permet à pas mal de joueurs et d'entraineurs de trouver leur bonheur.
Et si on se souvient que certains ont parfois évoqué le rêve d'aller voir ailleurs, il peut y avoir du changement. C'est le cas de Felice Mazzù, qui avait dit à quelques reprises lors de son premier passage à Charleroi qu'il aurait voulu entrainer la Juventus.
Genk une erreur, Anderlecht non
Quand Sudinfo lui demande si c'est toujours son rêve, il répond : "Non. On évolue. Je ne rêve plus d’ailleurs. Ici, à Charleroi, je trouve de l’honnêteté, de la convivialité. Mon rêve, je l’ai déjà dit, c’est de joueur avec le Sporting dans le nouveau stade. Ce sera mon dernier club en Belgique. Et après, je ne sais pas."
Un coach qui a tenté l'expérience dans d'autres clubs. Si le succès a été au rendez-vous à l'Union Saint-Gilloise, ce ne fut en revanche pas le cas à Genk et Anderlecht. Des mauvais choix pour lui ?
"Genk, oui. [Notamment] culturellement. Anderlecht, non. Maintenant, ce chemin m’avait été dicté par quelque chose qui n’était pas de ma faute", dit-il en faisant référence à l'impossibilité de trouver une solution pour la reconduction de son contrat à l'Union Saint-Gilloise.
La suite, on la connait. Mazzù doit maintenant permettre au Sporting de quitter sa douzième place puis le ramener vers le haut du classement. Ensuite, impossible de savoir où sa carrière le mènera.