Le KRC Genk a terminé le tour aller de la ligue régulière par un faux pas. Le vice-champion a perdu 1-0 à Sclessin samedi soir. Par conséquent, le rapport après 15 journées n'est pas très éloquent pour les Limbourgeois.
Avant le début de la saison, Genk était considéré comme l'un des grands favoris pour le titre national. Ce n'est pas tout à fait illogique. Le Racing avait déjà terminé deuxième la saison précédente et avait réussi à conserver la plupart de ses joueurs vedettes pendant l'été dernier, tout en faisant quelques acquisitions ciblées.
L'entraîneur Wouter Vrancken est également resté en poste après une première saison réussie à la Cegeka Arena. Mais lors des 15 premières journées du championnat régulier, les performances de son équipe ont été beaucoup trop faibles.
La concurrence se rapproche
Pour l'instant, Genk occupe toujours la sixième place, ce qui lui permet de participer au Play-Off I. Mais l'écart avec la position du leader augmente. De plus, le Racing sent le souffle chaud de rivaux comme le Club de Bruges et le Standard dans son cou.
Mais selon l'analyste flamand Stef Wijnants, il ne faut pas craindre une non-participation aux PO I : "Je ne vois pas de danger à ce que Genk participe aux Play-Offs I. Ils ont l'avantage que presque toutes les équipes du top 10 doivent encore venir à Genk. S'ils parviennent à bien gérer ces matches, ils ne devraient pas avoir de problème à se hisser parmi les six premiers", ajoute HBvL.
Ce qui joue en faveur du Racing, c'est le fait que six équipes seront à nouveau admises dans la post-compétition principale cette saison. "Genk peut s'estimer heureux que les Play-Off I soient à nouveau disputé avec six clubs cette saison. S'il y en avait eu quatre, comme les années précédentes, les soucis après ce premier tour auraient été bien plus grands", conclut Wijnants.