Avec l'introduction du VAR, l'idée était de réduire le nombre d'erreurs humaines dans les phases possiblement litigieuses.
Le souci, c'est que la technologie coûte encore très cher et qu'elle n'est donc pas utilisée dans toutes les compétitions ou en tout cas pas dans toutes les phases de ces compétitions.
Introduire le VAR le plus vite possible
Ainsi, dans les phases de poules de la Ligue des Champions féminine, le VAR n'est pas utilisé. Et la journée de ce mercredi a mis en évidence la nécessité d'introduire au plus vite la technologie avant les phases à élimination directe.
Que ce soit lors de la rencontre entre le Bayern et la Roma, ou entre le Real Madrid et Chelsea, plusieurs phases ont énormément fait discuter pendant et après le match.
"C'est embarrassant. J'ai dû vérifier pourquoi le but n'a pas été validé. C'était Niamh ? Non. C'était Sam Kerr qui a gêné la gardienne ? Elle était environ à six mètres de distance, même pas de loin dans le chemin. Je ne comprends pas du tout la décision", déclarait ainsi Emma Hayes, la coach de Chelsea, à l'issue de la rencontre des Blues.
Au final, le Real Madrid et Chelsea se sont quittés dos à dos, sur le score de 2-2. C'était aussi le score sur lequel se sont quittés le Bayern Munich et la Roma.
Etant donné que l'on disputait seuelement la première journée de phase de groupes, tout reste encore ouvert mais les décisions polémiques pourraient coûter cher au moment de faire les comptes.