Depuis son arrivée à Bruges cet été, Ronny Deila éprouve des difficultés à remettre les Blauw en Zwart en tête de la hiérarchie du football belge. Lorsqu'on lui a demandé son ressenti personnel avant le match de la Conference League contre Lugano, le Norvégien a réitéré sa confiance.
À un seul succès de confirmer sa qualification européenne, le Club connaît des difficultés en championnat, se classant à la 7e place après sa défaite contre l'Union Saint-Gilloise (2-1) dimanche. En conférence de presse il a répondu à la question suivante:
Les trois points contre les Suisses sont-ils donc une obligation pour le FCB et son entraîneur ? "La victoire est toujours obligatoire.Nous voulons gagner, nous voulons prester et nous savons qu’en prestant, nous avons de grandes chances de gagner. Parfois cela ne tourne pas en notre faveur. Quoi qu’il arrive, je survivrai et nous aurons une belle vie. J’ai confiance."
L’HOMME QU’IL FAUT?
L'entraîneur passé par le Standard de Liège s’est exprimé sur la pression de son rôle: “Je ne pense pas à mon poste. Je peux tout porter sur mes épaules, bien qu’il ne soit pas question d’une seule personne. Je crois que je suis l’homme qui peut ramener Bruges au sommet. Il y a eu beaucoup de changements et il y en aura beaucoup, avec ou sans moi. J’adore mon travail, mes joueurs et mon staff et je ferai tout pour ramener le club où il doit être."
Ce jeudi, Bruges recevra Lugano avant de recevoir le Cercle pour le compte de la quatorzième journée de Jupiler Pro League.