A la tête du Standard depuis bientôt trois ans, Bruno Venanzi a un bilan mitigé à la tête du Standard. Malgré une Coupe de Belgique remportée peu après son arrivée, il a échoué deux fois dans la conquête des PO1.
Le président des Liégeois dresse un 1er bilan de son parcours au Standard. "J’avais dit que je me donnais entre trois et cinq ans pour remettre une dynamique. Cela prend forcément du temps. J’arrive à la fin de ma troisième année. Le Standard, c’est un club, ce n’est pas que moi, mais être acteur d’un titre, c’est un objectif, pas encore une obsession", explique-t-il dans la DH.
L'homme fort de Sclessin s'exprime aussi au sujet des finances du club et du prochain mercato. "Nos finances sont saines mais il faut rester attentif. L’été dernier, le Standard n’a jamais autant dépensé pour son mercato pour ramener au bercail Pocognoli, Mpoku ou encore attiré Ochoa. Cet hiver, nous ne ferons aucune folie. Le Standard n’est pas un club riche, il doit se baser sur une gestion réfléchie même si ce n’est pas toujours populaire de le dire."
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