Pour Ronny Deila, le passage au Club de Bruges devait lui permettre de jouer les avant-postes. Mais le début de saison ne correspond pas vraiment aux attentes.
En Venise du Nord certains n'hésitent pas à parler de crise avec la sixième place au classement juste devant l'Antwerp. Et si les choses ne tournent pas comme on le souhaiterait, on est confiant quant à la suite des événements.
"Je vois des progrès"
"Au restaurant, on ne paie pas non plus après l'entrée", lance le Norvégien à Het Laatste Nieuws. Sachant que la saison est longue et que les retournements de situation sont possibles, il ne veut donc pas abdiquer et est persuadé que les choses vont en s'améliorant.
Notamment parce que le groupe commence à créer des automatismes nécessaires pour performer au plus haut niveau. "Je vois beaucoup de choses positives. Nous commençons seulement à nous connaitre", explique l'entraineur.
Pour lui, le plus important est la construction d'un certain état d'esprit. "Je construis une culture de la sécurité, de la confiance et du plaisir", ajoute-t-il encore. Un travail sur le long terme qui pourrait être payant dans les prochaines semaines, comme c'est déjà le cas sur la scène européenne.
Après les défaites au Standard et à Courtrai en championnat, la victoire à Lugano en Conference League a permis de faire le plein de confiance avant d'affronter l'Antwerp ce dimanche en début d'après-midi. L'occasion de renouer avec la victoire en championnat aussi afin de ne pas laisser les autres équipes du top 6 au classement.