Lors de son arrivée en janvier au Standard, ce milieu était présenté comme un des plus grands talents du football roumain. Lors de ses premiers mois, il n'a pas eu l'occasion de le prouver.
Aligné suite à la rupture du ligament croisé antérieur de Merveille Bokadi, Razvan Marin s'exprime de mieux en mieux. "Chez moi, les joueurs aiment caresser le ballon pendant de longues secondes avant de la céder à un partenaire. J’ai donc dû travailler ma vitesse d’exécution, ce qui n’a pas été simple. En six mois, j’ai compris qu’on devait courir comme un dératé si on voulait s’imposer dans votre championnat", a expliqué le milieu à
La Meuse.
"Marin, c’est une fourmi. Il n’arrête pas de courir et de travailler. Il est bon avec
le ballon, possède un excellent tir à distance, trouve des solutions et affiche un courage incroyable. Bien sûr, il doit encore améliorer ses capacités physiques et tirer plus souvent au but s’il veut arriver tout en haut. Le Standard et le championnat de Belgique constituent la scène idéale pour y parvenir", a reconnu Emanuel Rosu, journaliste de Pro TV, à
La Meuse.