Anderlecht a finalement clôturé le mercato d'hiver avec deux acquisitions. Anders Dreyer avait déjà été recruté il y a quelques semaines et Islam Slimani a été ajouté dans les derniers instants du Deadline Day. Les Mauve et Blanc ont ainsi trouvé un nouvel attaquant à la dernière minute, mais ils se sont retrouvés sans arrière gauche après que l'arrivée de Harry Toffolo ait été avortée.
On a eu l'impression qu'Anderlecht avait attendu trop longtemps pour agir. Pourtant, le Sporting savait dès l'ouverture du mercato qu'il avait besoin d'un attaquant et d'un arrière gauche, mais il a fallu attendre longtemps avant que des options concrètes apparaissent. Le CEO Sports Jesper Fredberg a explique à Mauve TV pourquoi Anderlecht a frappé si tard.
"Si nous avions pu le faire plus tôt, nous l'aurions fait", assure le Danois. " C'était le cas de Toffolo, qui était là depuis dimanche. Dreyer, nous l'avons fait très tôt. Nous n'avions donc pas du tout l'ambition d'être actifs le dernier jour".
EXPERIENCE
Dans le passé, la stratégie d'Anderlecht consistait souvent à attendre le dernier jour, car les bonnes affaires pouvaient encore apparaître à ce moment-là, mais Fredberg semble vouloir s'éloigner de cette stratégie. Dans le dossier de l'attaquant, Anderlecht a été contraint d'agir tardivement car il n'a pas réussi à finaliser ses pistes initiales, même si Fredberg assure que Slimani était également suivi depuis un certain temps. "Il devrait apporter de l'expérience à notre jeune attaque, ce qui était également important pour nous", conclut-il.