À Anderlecht, les choses sont agitées depuis un certain temps. Après avoir connu un début de saison particulièrement compliqué, des décisions importantes ont été prises.
Comme celle de licencier Felice Mazzù. Mais le coach n'est pas le seul à avoir fait les frais des mauvais résultats. C'est aussi le cas de l'entraineur des gardiens, Laurent Deraedt. Un homme qui n'a pas apprécié la façon dont les choses se sont passées au Sporting.
"En football, on peut être au sommet un jour et à la cave le lendemain", lâché Deraedt à la Dernière Heure. Une réflexion qui en dit long sur son changement de statut aux yeux de la direction anderlechtoise.
ASPECT HUMAIN
Mais s'il est vrai que les Bruxellois ne sont pas les seuls à avoir pris la décision de se séparer de son staff, les formes n'y étaient apparemment pas vraiment. "J'ai compris que l'aspect humain n'existait pas au club quand j'ai été licencié", ajoute-t-il.
Après avoir vécu des mois difficiles, Deraedt va donc maintenant devoir se relancer. Après avoir collaboré avec Mazzù dans plusieurs clubs, ce n'est pas le cas à Charleroi. Il est donc désormais libre de s'engager où il le souhaite.
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