Le clan Trebel sort du silence: "Je pense qu’il y a moyen"

Arrivé à Anderlecht en 2017, le contrat d'Adrien Trebel touche tout petit doucement à sa fin. Le milieu de terrain souhaiterait, pour sa part, s'inscrire dans la durée avec le club bruxellois mais cela ne dépend, cependant, pas que de lui. Reste à voir si les dirigeants du matricule  du 35 trouveront un accord avec le joueur sans quoi celui-ci pourra, alors, rejoindre le club qu'il souhaite, gratuitement, à l'issue de cette saison. 

Thomas Trebel, frère de l'ancien du FC Nantes et du Standard de Liège, a déclaré dans Sudinfo que le milieu de terrain français aimait Anderlecht. Le proche du natif de Dreux est, également, conscient qu'Adrien Trebel ne pourra plus avoir les mêmes prétentions salariales que lors de son arrivée au Lotto Park. Celui-ci souhaiterait, néanmoins, que les choses se fassent rapidement afin que le Français de 31 ans puisse être fixé et ainsi se concentrer pleinement sur le terrain. 

"Adrien aime vraiment Anderlecht malgré toutes les difficultés qu’il y a rencontrées, assure Thomas Trebel. Nous savons très bien qu’il ne pourra plus avoir les mêmes prétentions salariales qu’il y a cinq ans. Mais je pense qu’il y a moyen de trouver un juste milieu qui permettrait à tout le monde d’être gagnant. Quoi qu’il en soit, quel que soit le verdict quant à l’éventuelle prolongation, il serait bon d’y voir clair le plus rapidement possible. Fixé sur son avenir, Adri pourrait ainsi se concentrer pleinement sur l’aspect sportif."

DE LIEGE A BRUXELLES
La direction anderlechtoise avait déboursé trois millions d'euros pour convaincre le Standard de Liège de laisser filer le gaucher dans la capitale belge.

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