Le Standard a aligné les mauvaises performances avant la trêve internationale et va reprendre la compétition avec un gros morceau, le leader Charleroi. Les responsabilités de ce faux départ sont partagées entre le staff, les joueurs et la direction.
"J’aimerais lire dans la presse que le président Bruno Venanzi est descendu dans le vestiaire pour pousser une bonne gueulante afin de faire comprendre aux joueurs qu’il est temps de se bouger", a expliqué Christian Piot à
La Meuse.
"J’ai aussi envie de voir des personnalités ressortir du lot dans les moments difficiles et pas seulement lors des rares victoires. Le club a fait revenir des anciens et j’espère qu’ils vont prendre le taureau par les cornes car il est temps que les choses évoluent. On ne peut pas se laisser marcher sur les pieds, pas quand on défend les couleurs du Standard".