"On savait bien sûr que la Belgique n'allait pas jouer un troisième mauvais match consécutif", a commenté en conférence de presse le sélectionneur croate Zlatko Dalic (56 ans), après le nul blanc qui a sanctionné la rencontre décisive du Groupe F, jeudi à Al-Rayyan.
"Elle a eu des occasions, mais heureusement pour nous les a manquées. On peut donc dire qu'on a eu de la chance pour garder le zéro, mais aussi qu'on l'a forcée, en croyant très fort en nous jusqu'au bout. Je félicite d'ailleurs les joueurs. C'était un match difficile, mais c'est le football. Il ne fallait pas encaisser de but, mais l'objectif était de gagner", a admis Dalic, qui défiera le Japon en huitièmes de finale, lundi (16 heures) à Al-Wakrah.
"Si nous jouons comme ça, nous ne devons craindre personne", estime le coach qui a mené la Croatie jusqu'en finale il y a quatre ans en Russie.
LA BELGIQUE PERD UN GRAND ENTRAÎNEUR
"Je pense que la Belgique a perdu un grand entraîneur", a encore déclaré Zlatko Dalic. "Je suis désolé qu'il ait démissionné. Ce sont des adieux douloureux. Roberto Martinez est un ami, et un vrai professionnel. Avec lui les Belges ont signé de beaux résultats, et ont occupé la première place du classement FIFA pendant quatre ans..."
"Quant à moi, mon prochain projet est l'Euro 2024 et la finale de la Ligue des Nations. Ensuite je réfléchirai à mon avenir...", a conclu Dalic.
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Ils n'ont pas vu les 35 premières minutes de Croatie-Belgique (https://www.footnews.be/news/347542/ils-nont-pas-vu-les-35-premieres-minutes-de-croatiebelgique).
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