Les sélectionneurs ont changé depuis son titre à l'Euro 2004 mais la Grèce est restée fidèle à son image d'équipe défensive. Lors de leur venue en mars au Stade Roi Baudouin, les Hellènes ont pratiqué de la sorte. Comme ils ont ouvert la marque, ils ont bien entendu tout basé sur le contre.
Sans un but tout en fin de match de Romelu Lukaku, ils auraient fait carton plein. "Les Grecs vont devoir sauver leur deuxième place et donc attaquer. Ce qu’ils n’apprécient pas vraiment! Ce qu’ils ont fait à Bruxelles, on va pouvoir le faire à Athènes: attendre et partir en contres. On possède davantage de talents et je ne vois pas les Grecs nous battre. Ils ont été incapables de s’imposer contre l’Estonie", a expliqué Philippe Albert à
La Meuse.