Le KRC Genk affrontera le Standard dimanche après-midi. La rencontre sera marquée par le boycott des Limbourgeois aux médias en raison des décisions arbitres contre le Racing lors des dernières rencontres.
Aucun joueur ou membre du staff de Genk ne donnera d'interview avant, pendant et après le match dimanche. Le club tient à souligner son mécontentement vis-à-vis de l'arbitrage. Genk n'est pas d'accord avec le penalty subi et le carton rouge reçu à Louvain. Le penalty donné à l'Union à la Cegeka Arena n'a pas non plus été oublié.
Bernd Storck était cependant présent lors de la conférence de presse d'avant match ce vendredi après-midi. Cette conférence a montré que la colère n'était pas encore passée à Genk: "Si vous regardez nos matches, je pense que nous ne sommes pas bien protégés par les arbitres" a déclaré Storck, qui a également évoqué les nombreuses fautes de Paul Onuachu qui ont été sifflés à Louvain. "Cela me suffit pour protester. Mettons-nous une pression supplémentaire sur les arbitres dimanche? Vous interprétez notre action comme vous le souhaitez."
MANQUE DE COMMUNICATION
Le manque de communication des arbitres dérangent encore plus le T1 de Genk. Il serait impossible de demander davantage d'explications aux arbitres durant le match. "Je suis toujours très ouvert et respectueux envers les arbitres, mais le quatrième officiel évite toujours la discussion. Quand je vois que notre capitaine va parler à l'arbitre sur le terrain et reçoit immédiatement un carton jaune, je suis un peu surpris. Nous devons respecter les arbitres, mais eux doivent aussi nous respecter."