Après deux saisons vierges de tout trophée, Anderlecht a réussi à mettre la main sur le titre de champion de Belgique, le 34e de son histoire.
Un titre en grande partie dû à René Weiler et sa méthode de travail, qui a pas mal fait jaser. Comme celle de Nicolas Frutos. L'Argentin a lui aussi imposé sa vision des choses avec les espoirs, ce qui n'est pas forcément bien passé au début.
"Sans connaître l'exposition médiatique que René Weiler a connue, j'ai reçu de l'intérieur du club les mêmes critiques. Après les trois premières rencontres perdues, on voulait me tuer” explique-t-il à
Sport/Voetbalmagazine. Comme avec l'équipe première, les résultats auront fini par calmer les esprits.