Pendant toute la saison, René Weiler a été la cible de critiques même quand son équipe était en phase ascendante. Manifestement, la conquête du titre a calmé un peu le jeu.
La Dernière Heure: "Si ce titre est collectif – un qualificatif rarement autant mis en exergue du côté du Parc Astrid – il est avant tout celui de René Weiler. Rarement un entraîneur sera revenu d’aussi loin en une seule saison. En novembre, le club était en crise et le Suisse au bord du gouffre".
La Libre Belgique: "La pression était grande Chez René Weiler qui est tombé dans les bras d’Herman Van Holsbeeck juste après le coup de sifflet final, alors qu’il avait avoir longtemps souffert pour imposer sa vision du football moderne dans le vestiaire mais aussi dans le club".
SudPresse: "René Weiler a réussi son entrée en Belgique, il lui reste à dépasser la culture du résultat pour imposer plus nettement sa griffe".
Le Soir: "Un titre qu’Anderlecht doit, avant tout, à son manager, Herman Van Holsbeek, et à son entraîneur, René Weiler, mais aussi au talent de Youri Tielemans".
Het Laatste Nieuws titre en français et néerlandais :"On s’en fout, we zijn kampioen. Tel semblait être le mot d’ordre depuis le début de la saison. Weiler n’est pas un mauvais entraîneur, mais il s’est lui-même présenté comme un entraîneur qui n’est pas en phase avec ce qui distingue le RSCA et ce que représente:
-We Are Anderlecht".
Une exception toutefois: pour
Het Nieuwsblad, c'est le titre de Teo.