"Gamin, j’étais admiratif du grand Standard de René Hauss et j’allais souvent à Sclessin avec mon oncle. Il m’installait devant un poteau afin d’éviter une bousculade en cas de mouvement du public", a raconté Javaux à La Meuse. "Mais j’ai été refroidi lors d’une rencontre Standard–Winterslag en 1991, un individu en tribune d’honneur m’a craché dessus à la rentrée aux vestiaires. Un comportement inadmissible même si, en tant que juge de ligne, j’avais régulièrement droit à ce type de comportement. Ce qui ne m’a pas empêché de rester objectif. ”
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