Pas de terrasse pour les amateurs de foot belge ce samedi, ou alors l'après-midi ! La soirée s'annonce en effet passionnante: le vainqueur du choc Anderlecht - Antwerp (20h45) se rapprochera en effet à six points d'un Club Bruges apparemment en chute libre, tandis que celui de Waasland-Beveren - Seraing (20h45) prendra la place de l'Excel Mouscron ou se maintiendra en D1A.
Après le partage, 1-1, la semaine passée au Pairay, un score vierge suffira aux Waeslandiens pour rester parmi l'élite où ils militent depuis 2012, même si on se souvient dans quelles conditions rocambolesques ils y ont conservé leur couvert à la table il y a un an.
Le club de Seraing, dont on rappellera qu'il s'agit d'une ville à part entière et non d'une commune de Liège, n'est plus celui qui avait connu des heures de gloire sous l'ère Blaton - Heylens, avant d'être absorbé par le Standard en 1996.
Mais peu importe si le matricule est passé de deux (17) a trois (167) chiffres, le retour au plus haut niveau n'est pas forcément une utopie.
Même s'il a déjà fallu un miracle - ou plutôt la victoire obtenue devant les tribunaux par... Waasland-Beveren - pour voir arriver le Royal Football Club Seraing, (re)fondé en 2014, en D1B, alors que seul le champion du National, en l'occurrence Deinze, devait en principe monter.
Vice-champion à 18 points (70-52) de l'intouchable Union Saint-Gilloise, le voici maintenant proche de la D1A.
Les données du problème sont relativement simples, après Le partage arraché, sur penalty, par le Géorgien Georges Mikautadze dans les arrêts de jeu à l'aller, répliquant à un autre penalty, du Suisse Michael Frey: il faut gagner ou ne pas perdre en ayant marqué au moins deux buts, voire un seul, et s'en remettre alors à l'adresse du gardien (Guillaume Dietsch) et des volontaires pour les tirs au but...
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