"Avec le noyau actuel, Anderlecht devrait à tous les coups être en playoffs 1. Mais c’est tout le club qui doit faire son autocritique. Comment expliquer que des gars aussi talentueux qu'Abdoulay Diaby, Jacob Bruun Larsen ou Marco Pjaca ne s’épanouissent pas au Parc Astrid? Victimes de l’instabilité qui règne à tous les étages du club, ils doivent se demander où ils sont tombés", a analysé Baseggio dans La Meuse.
"Le président Wouter Vandenhaute et le directeur sportif Peter Verbeke bossent aussi dans des conditions très ingrates. Avec cet accord entre actionnaires qui se fait attendre, on ne sait même pas si les finances du club seront un peu meilleures cet été. Entre 1996 et 2000, j’ai également connu une période de vaches maigres avec des qualifications européennes lors de l’ultime journée mais le club avait les reins beaucoup plus solides."