Le Standard affronte La Gantoise dans quelques minutes. S'ils veulent encore être dans le top 6, les Liégeois sont condamnés à tout gagner. S'ils n'y parviennent pas, il faudra désigner les responsables de l'échec. Pour Matthieu Dossevi, c'est la direction.
"Le stress a joué un rôle, le manque de confiance aussi. Il y a eu trop peu de solidarité lorsque nous en avions besoin", dit le Togolais dans Het Laatste Nieuws. "Nous avons essayé mais ce n'est pas facile quand on transforme le noyau en profondeur tous les quatre mois. Aligner les onze meilleur joueurs ne suffit pas. Il faut de la stabilité, de la cohésion. "
"Un joueur peut faire la différence une fois, pas chaque semaine. Il faut une vraie équipe. Nous devons franchi rce pas. Ce groupe est capable de grandes choses mais il faut lui laisser le temps."