Le Standard n'a pas reçu sa licence et a directement réagi en portant l'affaire devant la CBAS. Même s'ils sont confiants, les dirigeants rouches doivent penser à leur défense.
Selon La Meuse, le Standard a chargé le cabinet d'avocats Atfield, plus précisément Grégory Ernes, de défendre ses intérêts. C'est déjà lui qui avait été mandaté par le club liégeois devant la CBAS le 31 janvier 2017 pour contester la décision de la commission des litiges suite au match Charleroi-Standard arrêté en raison du comportement des supporters.
Le Standard, qui avait été condamné à un match à huis clos effectif et à la levée du huis clos concernant un Charleroi-Standard d’octobre 2015, en plus d'une amende de 5.000 euros, a eu gain de cause. La CBAS a donné raison au club liégeois en réformant la décision prise à la commission de la fédération.