Depuis que Marc Coucke a repris le club, Anderlecht est un peu devenu le Marseille belge: le calme n'y dure pas longtemps. Le président a viré une kyrielle de personnes mais on ne peut pas dire que cela donne des résultats tant sur le terrain que dans les livres de compte.
Le renvoi de Pär Zetterberg a surpris par la manière et la justification
(la crise du coronavirus) est limite. "Je ne suis pas vraiment triste. Je suis juste déçu de ne plus travailler avec les joueurs que j’aimais beaucoup. Et aussi avec le staff. J’aimais bien apprendre et transmettre mon expérience. Je me plaisais bien à Anderlecht", a expliqué Zetterberg, qui est rentré chez lui en Suède, Ã
La Dernière Heure."Karel Van Eetvelt, le nouveau CEO, m’a dit au téléphone que le club mettait fin à mon contrat, sans beaucoup plus d’explications."
"Le club a-t-il cherché à faire des économies avec le coronavirus qui bloque tout? Le club n’était-il pas content de mon travail? Je ne sais pas vraiment, mais c’est ainsi. Je dois l’accepter, même si je ne comprends pas bien. Cette saison, mon rôle était beaucoup plus clair dans le club et j’étais épanoui. Je ne sais pas si mon départ est lié au sort de Michael. Mais Anderlecht cherche à faire des économies et c’est logique vu la situation."
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