Karim Belhocine le reconnaissait: on a vu un Anderlecht courageux mais sans plus à l'Antwerp (1-1).
"On a vu que l'Antwerp était très fort dans les duels. On a eu une bonne première mi-temps mais ils ont poussé et ce nul n'est pas une mauvaise chose. "
"On aurait pu gagner mais ça n'aurait pas été mérité. On aurait surtout pu perdre. On s'est battu, on doit s'appuyer sur un quatre sur six mais on doit ajouter du foot. A la mi-temps, j'ai demandé qu'on ressorte mais ça n'a pas été le cas."
"L'Antwerp a tout donné, ils voulaient mettre un deuxième but. On ne l'a pas accepté et on s'est battu. J'avais un entraîneur qui disait: quand on ne peut pas gagner, il faut accepter de ne pas perdre."
Yannick Bolasie, pratiquement invisible, était d'accord avec son entraîneur.
"Honnêtement, l'Antwerp a dominé, ils nous ont mis sous pression. Généralement, ça dure 15-20 minutes mais eux, ils l'ont fait pendant 90 minutes. Ce n'est pas amusant mais le foot est parfois comme ça."