Le transfert de Peter Zulj n'a pas déchaîné l'enthousiasme auprès des supporters d'Anderlecht, qui s'attendaient à voir arriver un top joueur. Inconnu chez nous, l'Autrichien ne portait pas cette étiquette. En plus, lors de sa présentation, il a annoncé "je vois des choses, que les autres ne voient pas".
Avec un seul assist au compteur, on l'a surnommé David Copperfield, du nom du célèbre illusionniste. "Copperfield, c'est mon surnom? C'est la première fois que j'entends ça. J'insiste pour dire que je vois des choses que les autres ne voient pas. Quand j'ai le ballon à gauche, je sais ce qui se passe à droite. Je remarque les espaces, mais j'admets que je dois être plus efficace. J'aurais dû marquer cinq fois, car je n'aurais pas dû manquer certaines occasions", a reconnu Zulj au Het Nieuwsblad.
"Quelle en est la raison? L'adaptation peut-être... Le rythme est un peu plus rapide en Belgique qu'en Autriche, mais il y a en réalité peu de différences tactiques et techniques. Peut-être que je dois connaître mes coéquipiers de fond en comble. Cela prend du temps. Mais je me sens à 100% chez moi à Anderlecht. J'ai mon appartement à Bruxelles et les garçons des Balkans sont déjà devenus des amis. Surtout Antonio Milic avec qui je passe beaucoup de temps. Obradovic et Santini ont leur famille."
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