Si l'on en croit Bruno Venanzi, la valeur du noyau du Standard d'aujourd’hui est trois fois plus importante qu’il y a trois ans. C'est possible dans la mesure où des joueurs comme Razvan Marin, Gojko Cimirot, Moussa Djenepo ou Zinho Vanheusden ont vu leur cote monter. Mais ce n'est pas fini.
Alors que l'on s'attendait à ce que Milos Kosanovic remplace Christian Luyindama au centre de la défense, on a assisté au retour de Merveille Bokadi seize mois après sa déchirure du ligament croisé antérieur du genou à Anderlecht le 1er octobre 2017. "C’est un nouveau départ pour moi. J’ai eu un peu de mal à rentrer dans le match. Puis, j’ai pris progressivement confiance. C’est lors d’un Clasico que je m’étais blessé et c’est lors d’un Clasico que je rentre: on peut dire que la boucle est bouclée", a expliqué Bokadi à La Meuse.
"J’ai eu ce que j’appelle un accident de travail, mais je n’ai jamais douté de mon retour au plus haut niveau. Tout le monde a été derrière moi pendant cette période difficile. Le coach m’a demandé si j’étais prêt à jouer un tel match. J’ai répondu par l’affirmative. Je sais qu’on compte sur moi."
"J’ai eu ce que j’appelle un accident de travail, mais je n’ai jamais douté de mon retour au plus haut niveau. Tout le monde a été derrière moi pendant cette période difficile. Le coach m’a demandé si j’étais prêt à jouer un tel match. J’ai répondu par l’affirmative. Je sais qu’on compte sur moi."
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