"Quel plaisir peut-on éprouver à empêcher quelqu’un de jouer, de dribbler, de tenter des actions? Je l’ai déjà dit plusieurs fois, je ne me sens pas suffisamment protégé par les arbitres. Et la remarque vaut pour d’autres joueurs aussi, qui s’appuient comme moi sur leurs qualités techniques pour tenter de faire la différence", a regretté Carcela.
A Séville, l'arbitre ne sera toutefois pas espagnol. "Au moins, ça va être du football. Et donc, cela va surtout être plus facile pour moi, parce que je vais enfin être libre de mes mouvements. Dans un match, tout peut arriver. Si on se dit que Séville possède un budget sept fois supérieur à celui du Standard et qu’il est beaucoup plus fort sur papier, on part battu d’avance. Ce qu’il va falloir, c’est répéter le match que nous avions joué, à l’aller à Sclessin face à l’Ajax."