A l'Inter Milan, l'heure est à l'austérité. Le club lui-même n'est pas en faute mais la raison est liée à la situation économique des entreprises de la maison mère Suning, largement touchée par l'épidémie de Covid-19. Du coup, la direction nerazzurra a changé de ligne de conduite dans le cas de Radja Nainggolan.
Selon Calcio & Finanza, les recettes de la société chinoise ont diminué de 12,65 % par rapport aux six premiers mois de 2019, passant de 16,7 à 14,65 milliards d'euros. Tout cela malgré une augmentation significative des ventes en ligne de 5,40 %. La perte finale est de 166,5 millions RMB (20 millions d'euros) par rapport à un bénéfice de 2,1 milliards RMB (260 millions d'euros) pendant les premier semestre 2019.
Tout cela signifie que l'Inter va devoir surtout penser à céder des joueurs et la direction cherche des solutions pour Ivan Perisic, qui revenu de prêt du Bayern Munich, mais aussi pour Andrea Ranocchia (Genoa?), Dalbert et Joao Mario (Betis, Valence, Benfica?). Par contre, Nainggolan n'est plus un joueur dont il faut se débarrasser à tout prix. L'Inter ne veut même plus concéder un prêt sec, une vente définitive ou rien. Et tout cas, pour le moment.
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