Les spécialistes du monde des finances s'accordent à le dire: la révolution de palais à Anderlecht est le signe d'un départ de Marc Coucke. "Ce n'est pas sûr à 100 %, rien n'est d'ailleurs certains en ces temps de crise, mais ça ressemble quand même fortement à la planification d'un retrait", dit Dries Bervoet, journaliste à De Tijd, dans Het Laatste Nieuws.
"Coucke et Kompany ne sont plus sur la même longueur d'ondes et ça a provoqué un clash au sein du noyau. Quand Kompany a eu la possibilité de retourner à Manchester City, il en a profité pour mettre Coucke sous pression et le contraindre à faire un pas de côté."
"S'il était parti à cause de Coucke, la position de ce dernier aurait été intenable, il n'aurait plus pu continuer à fonctionner."
Il aurait alors dû partir de toute urgence et vendre ses parts à perte. La solution actuelle devrait donc contenter tout le monde.