Cela fait deux ans que Marc Coucke a pris la tête d'Anderlecht. Jusqu'ici, cela ne s'est pas très bien passé tant sur le plan sportif qu'organisationnel. Il n'est donc pas épargné par les critiques qui, selon lui, l'aident à grandir.
"J’étais trop impliqué sur le plan opérationnel à Anderlecht. Ce n’est pas ce que je voulais, mais les circonstances nous ont obligés à monter au front après l’acquisition et j’ai été pris dans un tourbillon. Nous devions donc constituer une structure moins dépendante de moi. Peut-être n’avons-nous pris qu’aujourd’hui les mesures qui font qu’Anderlecht est structuré comme nous voulons structurer toutes nos entreprises", a expliqué Coucke à Trends/Tendances.
"J’ai appris à vivre avec les critiques. Certains disent qu’ils ne les lisent pas. Moi, je lis les critiques, et je m’oblige à me demander sans cesse si elles recèlent un fond de vérité, même quand on m’insulte sur les médias sociaux. Quand on adopte cette attitude, il est possible de résister aux critiques. Mais le monde est de plus en plus dur."