Anderlecht ne joue pas les premiers rôles cette saison et son ambition se limite à la participation aux playoffs 1. Bruno Venanzi a vécu la même expérience lors de son arrivée à la présidence du Standard.
"Reprendre un club de football est difficile.Surtout un club comme Bruges, Anderlecht ou le Standard. On a connu nos années difficiles, Anderlecht connaît les siennes. Gérer une transition est très compliqué. Mais à terme, Anderlecht va s’en sortir", assuré Venanzi à La Dernière Heure.
"Quand vous êtes président d’Ostende et que vous perdez trois matches de suite puis que vous gagnez le quatrième, c’est la fête. À Anderlecht, si vous gagnez trois matches de suite puis vous perdez le quatrième, c’est la crise. En Belgique, on a tendance à tout vouloir remettre en question très rapidement dans les grands clubs"