Le Standard a rétabli l'équilibre avec Francfort dans un duel pour la deuxième place qualificative du groupe. Une fois encore, le banc a fait la différence.
"C’est sûr que ça me fait plaisir mais cela montre surtout ce qu’on voit depuis le début de la saison : on peut laisser des joueurs au repos en espérant les voir faire la différence en fin de rencontre. Certains usent les adversaires, d’autres terminent le travail. C’est notre richesse dans le secteur offensif actuellement", a savouré Michel Preud'homme.
"On s’est rendu compte qu’en utilisant un pressing haut comme à l’aller, on pouvait les mettre en difficulté. On l’a bien fait et on a marqué sur phase arrêtée, ce qui est très positif car les trois buts que nous avons encaissés le sont également sur des coups de pied arrêtés. C’est la preuve qu’on peut rivaliser avec leurs gabarits. On a ensuite concédé l’égalisation car les compensations après le pressing ne se faisaient plus. On a eu une période de match compliquée. On cherchait les solutions. Et le banc a finalement été décisif."