Vendredi, Hendrick Van Crombrugge retourne à Eupen, le club qui lui a permis de devenir Diable rouge. Le gardien est bien installé à Anderlecht et il espère arracher une troisième victoire d'affilée au Kerhweg.
"Roberto Martinez m’a un jour décrit comme un gardien moderne et complet. J’ai tous les aspects d’un portier moderne mais je peux m’améliorer partout. Il était temps de quitter Eupen pour continuer à progresser", a rappelé Van Crombrugge à La Dernière Heure. "Mon adaptation rapide à la pression d’Anderlecht m’a agréablement surpris. C’est surtout une pression médiatique que tu n’as pas à Eupen. Là-bas, quand tu arrives le matin pour l’entraînement, toutes les portes sont ouvertes mais il n’y a personne. À Anderlecht, tout est fermé mais il y a toujours quelqu'un devant la grille."
"J’ai fait partie du projet Eupen pendant six ans. J’y étais allé en test d’abord pour lancer ma carrière et ce fut une très bonne décision, même si je gagnais 1.100 euros net par mois avec mon premier contrat. Ce n’était pas toujours facile car certains gars venus par Aspire au Qatar touchaient beaucoup d’argent mais je devais passer par là."