Il y a encore eu du ramdam ces derniers jours à Anderlecht, qui a de nouveau reçu la visite des enquêteurs. Le tout agrémenté par des discussions sur un huis clos ferme et les rumeurs de transferts et de choix d'entraîneur.
"C’est une rencontre très importante pour encore croire à une qualification européenne. Nous devons être organisés et prêts à concurrencer Bruges sans pour autant oublier de tenter d’imposer notre jeu quand on le peut", a banalisé Karim Belhocine. "Nous n’avons rien vu de l’intervention de la police. Nous l’avons appris par les médias donc je ne vois pas comment cela influencerait la rencontre."
Un discours attendu. "Dans une telle situation, le rôle du coach est d’isoler son groupe face aux menaces externes", assuré Ariel Jacobs dans 7Dimanche. "Car que peut faire un joueur face aux perquisitions ou face à des rumeurs de nouveau coach? Il faut également tenter de se raccrocher aux choses positives. On a vu un bloc plus soudé. Il y a également eu plus de volonté, même si la condition première d’un joueur est de mouiller le maillot. La motivation devrait être encore plus grande car il ne faut pas oublier que cette équipe est venue mettre fin à 21 ans d’invincibilité d’Anderlecht au Parc Astrid."